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CD "VAGABOND BLUES" |
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CD "LE 3ème HOMME" | CD "BLUES AU COMPTOIR" |
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TERRI'THOUARS BLUES FESTIVAL avril 2014 Concerts |
Cadijo Duo s'est
produit hier après-midi à la médiathèque de Thouars qui affichait
complet. La 10e
édition de Terri'Thouars blues est un véritable succès.
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TOURNEE BOLIVIE mars 2014 Concerts |
Lors
de son passage à Sucre, CadiJo a fait goûter la magie du blues
chanté en français aux deux cents spectateurs agglutinés dans le
patio de la jolie petite Alliance française locale. Entre un vibrant
hommage à Claude Nougaro qui nous a quittés il y a dix ans pour le
paradis des chanteurs de jazz, et quelques notes étincelantes de
jazz manouche à la Django Reinhardt pour lesquelles il a été
rejoint sur scène par le brillant violoniste Gustavo Orihuela,
CadiJo n'a pas failli à son excellente réputation, acquise dans les
festivals européens. |
CERCLE de ST SYMPHORIEN novembre 2013 Concerts |
Une soirée en tous points remarquable : il faut l’entendre pour
le croire… Les sons qui s’envolent de l’harmonica de Cadijo
sont presque irréels, une légèreté, des notes sourdes et d’autres
cristallines, un vrai virtuose. |
CERCLE de CAPTIEUX mars 2013 Concerts |
CadiJo en concert au Cercle ; quel
régal! |
CERCLE DE BROCAS Janvier 2013 Concerts |
Une fois encore, lorsque le président Jacques Duhurt
a ouvert la soirée de ce samedi 26 janvier, on
cherchait les chaises. Le Cercle des Travailleurs était comble pour
écouter Cadijo accompagné par un grand Baptiste
Duperron à la guitare. Un régal y compris pour ceux qui
avaient déjà vu le blues man en juin 2009 ici même. |
NUIT du BLUES ABBAYE NOUVELLE aout 2012 Concerts |
Après Rag Mama Rag et Gary Brooker en 2011, le concert Jazz et Blues de l’Abbaye Nouvelle dans le Lot accueillera CadiJo. Le concert se déroule dans la salle basse d’une église cistercienne du XIIIe siècle (www.abbaye-nouvelle.fr). CadiJo commence en solo avant d’accueillir tour à tour Baptiste Duperron à la guitare et Baptiste Castets à la basse et à la batterie. Le public va vite se laisser conquérir par le blues gouailleur de CadiJo, dont les textes en français sont parfois légers, parfois plus sombres, gentiment contestataires, mais toujours poétiques. CadiJo est un songster à la française qui sait se faire très swing ou très blues. Son jeu d’harmonica est majoritairement acoustique, mais il prend le “bullet mike” pour un bel instrumental jazzy et un shuffle blues où son côté “Walter Hortonien” prend magnifiquement le dessus. Le répertoire est issu de l’ensemble de ses albums, mais on peut noter avec plaisir qu’il interprète une bonne part de nouveaux titres, dont un joli blues à la Jimmy Reed, qui devraient faire l’objet d’un prochain CD. Cadijo, chanteur harmoniciste compositeur, se fait connaître en 1999 grâce à son 1er disque « Rester Tranquille » . En duo, trio ou quartet, son expression blues n’a pas de limites. Son écriture est empreinte d’une grande poésie et sa composition musicale remonte aux grands harmonicistes afro-américains : Sonny Terry, Big Walter Horton …Ses mélodies restent en mémoire après ses concerts.Christophe Mourot - SOUL BAG – Aout 2012 |
Festival Bain de Blues à Bain de Bretagne Avril 2010 Concerts |
CadiJo entame la soirée avec
son Blues à la Française, accompagné à la guitare par Anthony
Stelmaszack. Cadijo nous offre des textes à la fois sincères,
humoristiques et parfois légers, auxquels son jeu d'harmo fait des
ravages. Inventif, rageur, subtil il nous délivre une véritable
leçon de ruine-babines, tout comme Anthony Stelmaszack à la
guitare. |
Festival Bain de Blues à Bain de Bretagne Avril 2010
Concerts |
Il
est natif de Castelsarrasin, il vit à Bordeaux peut-être parce
qu'il faut bien vivre quelque part ....car son esprit est planétaire
et son histoire, celle qu'il nous raconte, c'est celle de l'humanité
et parce qu'il faut bien que nous, les humains, on la comprenne son
histoire et ce qu'il veut nous transmettre, et bien il nous la
raconte en français. Ah oui bien sur, vous allez me dire du blues
dans la langue de Molière? Comment est- ce-possible? Et je vous
réponds et pourquoi pas!! Et à y réfléchir, je vous dirais
même.... mais bien sur...
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COGNAC BLUES PASSION Juin 2009 Concerts |
Du blues en français et de belle
facture, ils ne sont pas nombreux à réussir ce difficile défi.
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SUD OUEST 23 juin 2009 Concerts |
L'Estrigon s'est jeté dans le Mississippi Pour clore le programme du premier semestre du Cercle des Travailleurs, le président Jacques Duhurt et son équipe ont encore misé juste avec ce concert blues de CadiJo et Michel Foizon. Une nouvelle fois, la salle était pleine et la qualité de ce dernier concert avant la trêve estivale augure bien la fidélité d'un public que le Cercle a patiemment su convaincre. Blues blanc rouge L'originalité du blues de Cadijo est qu'il compose en français avec quelques interprétations anglo-saxonnes. Et surtout, il joue de l'harmonica à merveille tirant de ces 10 cm de métal des sonorités époustouflantes relevées de subtiles modulations qui valent bien des textes. Le doigté du guitariste Michel Foizon ajoute bien évidemment au plaisir que les deux complices ont partagé en assurant plus de deux heures de concert. Jean Marie Tinarrage |
SUD
OUEST 21 Avril
2009
Concerts |
Une âme dans un harmonica Depuis des décennies, il a mis son talent d'harmoniciste au service de ce Monsieur Blues qu'il salue et vénère. CadiJo était au Café-Scène à Montfort en Chalosse ce samedi et, l'instrument bien calé au creux de la main, il racontait ses espérances, ses doutes, ses agacements et ses chagrins. Et c'est un véritable duo que ce chanteur et son harmonica qui cause, pleure, se plaint et parfois même éclate de rire. CadiJo chante des standards en anglais mais écrit en français des chansons inspirées du blues du Mississipi mais dont on saisit tout le sens. Il chante « les bras croisés et les pieds dans l'eau », les matins de nostalgie, les exilés derrière les fenêtres, les petits soucis et les désirs d'amour... bref la vie de chaque jour car, pour lui, tout est prétexte à chanter. L'harmonica le suit ou le précède, joyeux, triste, volubile, s'envolant parfois, d'autres fois bredouillant mais toujours bouleversant. Une guitare l'accompagne (Anthony Stelmaszack) et c'est du blues, du swing et même du gospel car, CadiJo le sait bien, la musique n'est jamais loin de l'âme et, on le devine, Cadijo cache la sienne dans son harmonica. Annie Quillon
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SUD OUEST Vendredi 17 octobre 2008 Concerts |
CadiJo continue à grandir Quelque part en bordure des marais de Montferrand (commune d'Ambarès et Lagrave), vit l'un des meilleurs représentants du Blues Français. Harmoniciste et chanteur, il délaisse parfois son petit coin de nature pour pointer son nez en ville, dans l'une ou l'autre de nos caves enfumées, et nous faire profiter de ses dernières recherches musicales. Il ne faut alors pas le louper: on ne sait quand reviendra... Ce monsieur s'appelle Cadijo, et il s'est adjoint en l'occurence la collaboration de quelques jeunes génies du blues (dixit Lenny Lafargue, qui doit savoir de quoi il parle): Baptiste Castets, batteur, Baptiste Dupeyron et Alexandre Nief, guitaristes, et Matthieu Moulins, benjamin de l'équipe avec sa basse et ses 17 ans. CadiJo vient de placer son nouvel album « Grandir » en tête des charts spécialisés, et a fait récemment un malheur au festival Harmo'Liège en Belgique. Ils seront demain samedi au Hol'Art à Bordeaux (9 rue Causserouge) à partir de 21h30 et pour la modique somme de 5 euros, En fin de soirée, il sera possible de les rejoindre pour une jam session. Patrick Scarzello
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ASSOCIATION JAZZ & BLUES - Mai 2008 Concerts |
Excellente prestation de Cadijo, samedi 24 mai à l’Espace Culturel de Beautiran, 2h15 de concert non stop et deux rappels. Un savant mélange de swing, blues avec textes en français, et de jazz. Une merveilleuse version à l’harmonica de « Round Midnight », talent et émotions partagés avec un public conquis. Jacques Merle / Association « Jazz and Blues Léognan »
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JOURNAL SUD OUEST - Nov 2004 | Concerts |
L'harmoniciste du marais: Cadijo sort un nouvel album inspiré du zydeko louisianais. Il trouve ses racines dans le marais, comme au bord du Mississippi lire la suite |
LE PUBLICATEUR - Mai 2004 | Concerts |
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LE TELEGRAMME - Mai 2003 | Festival Blues 2 Rivières | Concerts |
… Originaire de Castelsarrazin, la ville de Pierre Perret située au cœur de la région des troubadours, Cadijo
en a gardé le sens de la convivialité et des contacts permanents. Il
distille des chansons faites d'amour, de vie et d'espoir, touchant un
auditoire sous le coup de l'émotion et ravi de cette rencontre. |
TAGEBLATT Letzeburg - Juillet 2002 |
Festival Blues Luxembourg | Concerts |
Keith B Brown & CadiJo
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BLUES FEELING - Janvier 2002 | Festival Blues sur Seine | Concerts |
...Cadijo, seul à l'harmonica, façon Sonny Boy Williamson, l'émotion était à fleur de peau! |
La GAZETTE de GREENWOOD - Déc 2001 | Festival Blues sur Seine | Concerts |
...Cadijo,
incroyable, il fallait l'oser et il l'a fait... Seul, au chant et à
l'harmonica, il a hypnotisé la salle qui écoutait chacun de ses mots et
chacune de ses notes. Pas d'autre accompagnement que la semelle de sa
chaussure qui battait discrètement le rythme sur le plancher. Festival Blues sur Seine
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LA PAGE BLUES - Déc 2001 | Festival Blues sur Seine | Concerts |
...j'ai découvert des groupes ou artistes, Cadijo, extraordinaire seul au chant et à l'harmo, courageux et talentueux le garçon.
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SUD OUEST - Avril 1997 | Festival Blues des Graves | Concerts |
...un répertoire de Blues aussi varié que bien interprété, avec un bon son, une bonne présence et des textes en français.... Antoine de Baecke.
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NOS ENCHANTEURS mars 2014 CD En vadrouille dans les marécages |
Cadijo, chanson et blues sauce cajunOh, la belle découverte
que voici ! Mais comment donc avons-nous pu passer à côté de
Cadijo, alors même que l’énergumène compte à ce jour une bonne
demi-douzaine de galettes à son actif ? Patrick Engel |
SWEET HOME MUSIC juin 2014 CD En vadrouille dans les marécages |
CADIJO part en En vadrouille dans les marécages. Quatre ans
après
"les bras croisés", voici un album assez différent.
Malgré quelques invités et une rythmique discrète, on garde le
sentiment d'avoir écouté un disque où seule la guitare de Baptiste
Duperron accompagne Cadijo. La photo qui orne la pochette en reflète
bien l'ambiance. |
SOULBAG n°214 mai 2014 CD En vadrouille dans les marécages |
L'objectivité nous quitte quand CadiJo
sort un nouveau disque. Pourquoi un tel bien-être à chaque fois ?
« En Vadrouille Dans Les Marécages » avec le fidèle
Baptiste Duperron (g), Baptiste Castets (b,dm) et les invités
Anthony Stelmaszack (g), Sylvin Marc (b), Geoffroy Boizard (g) et
Hervé St Guirons (org), est une jolie ballade au cours de laquelle
CadiJo chante, siffle – peu-être un peu trop-, reprend deux de ses
anciens titres, en ajoute onze nouveaux, dans le style
swing-blues-jazzy qu'il affectionne. |
BLUES & CO n°67 mars 2014 CD En vadrouille dans les marécages |
Cet album est un régal. Les paroles
pour la plupart de la plume de CadiJo, un texte écrit par ailleurs
avec Michel Carraro, sont d'une réelle fraîcheur, mots à découvrir
pour la plupart dans le livret. Le morceau instrumental introductif,
un bon jazz manouche, « En vadrouille dans les marécages »
est revigorant ! J'ai ressenti l'écoute attentive
d' «Entendre » comme une invitation à l'ouverture des
sens et du cœur à la vie qui palpite. Une chanson qui respire
l'optimisme, je trouve. D'ailleurs cet album est très gai, comme
souvent les chansons de CadiJo. Même la chanson « Imbécile
heureux » est une invitation à la danse, malgré un texte
fruit de la consternation face à la morosité ambiante. Un petit
coup de cœur pour « Le diable dans les yeux », chanson
que je chanterais bien moi aussi. Taper dans les mains et battre le
rythme de la tête vous viendra d'évidence avec « Devant ma
porte », un instrumental chaleureux et entrainant. Très joli
blues que « Elle aimait trainer » sur lequel Anthony
Stelmaszack nous régale d'un slide élégant comme à son habitude.
Les compères de CadiJo dans sa promenade sont de qualité :
Baptiste Duperron et Geoffroy Boizard officient à la guitare,
Baptiste Castets à la basse (Sylvin Marc sur deux chansons), Hervé
St Guirons à l'orgue et donc A Stelmaszack qui fait son apparition
au slide. Un album bien agréable, superbement bien écrit, un
artiste à aller écouter , je n'y manquerai pas pour ma part
encore cette année ! |
BCR n°36 mars 2014 CD En vadrouille dans les marécages |
On ouvre ce digipack écolo sur une superbe polka à l'harmonica, la performance soufflée vaut son pesant d'or, et prouve que Cadijo est un musicien français de haut vol. Interprétée majoritairement en quartet avec la brillant guitariste Baptiste Duperron, Baptiste Casters à la batterie et Sylvain Marc à la basse, cette Vadrouille dans les Marécages vaut vraiment le détour. Même si on peut affirmer, que ce dernier tir du Bordelais s'approche avec malice de compositions nées du coté de Sète, et qu'il fait la part belle au Jazz Manouche, l'étoffe qui le siet s'apparente bien au blues. Un tissu musical fin, malin et bleu foncé, dynamise chaque plage. Le fer de lance c'est l'écriture, car Cadijo sait manier avec un humour grinçant la langue française, il est même devenu un expert de la chose. Ici, l'artiste nous ouvre les yeux avec tact et humour. Son répertoire à l'écriture très blues brosse avec justesse et sensibilité notre quotidien. Ecoutez " Jean du Voyage " vraiment d'actualité, voir " Imbécile heureux " ou il fait allusion au détachement, voir à l'incrédulité de ses concitoyens. La chanson " Un bon coup de Gnole " dénonce fermement l'indifférence et l'égoïsme. Les médias, la religion et leur discours manipulateurs ne sont pas non plus épargné avec " Le Verbe, Les femmes et La Vie" en plage dix Il en ressort une perspicacité musicale guidée par un 'humour un tantinet irrévérencieux ! J adore cette écriture rare, fine et culottée. J'aime ce petit coté malin et rebelle qui plane sur ce disque ! Cadijo harmoniciste chanteur de génie, met ici en évidence, la braise qui couve avant l'incendie. Musicalement, on navigue sur des compositions entrainantes et finement ciselées. Anthony Stelmazack (guitare) et Hervé St Guirons (orgue) viennent en amis rajouter un peu de couleur à ce joyau. Je ne peux que recommander avec ferveur cet album érudit sertit de textes ingénieux et clairvoyants. Un jeu de notes délicat et exquis pour un disque jubilatoire qui comblera les plus exigeants d'entre nous. Joel Bizon |
ZICAZINE février 2014 CD En vadrouille dans les marécages |
Que ce soit en tant que sideman de luxe
des plus grands artistes de blues ou encore sous son propre nom,
CadiJo est un harmoniciste parmi les plus appréciés de l’hexagone
et plus largement d’Europe et c’est en étant régulièrement
félicité et récompensé pour la subtilité de son jeu qu’il
continue d’aller de l’avant en transmettant son savoir blues aux
plus jeunes au travers de programmes musicaux éducatifs qu’il
présente dans les écoles. Aussi passionnante à la scène que sur
album, la musique du Bordelais use avec beaucoup de sensibilité de
la langue de Brassens et c’est finalement un blues partagé entre
douze mesures et chanson francophone que CadiJo nous dévoile à
chacune de ses sorties, la dernière en date, « En vadrouille dans
les marécages », s’appuyant sur les guitares de Baptiste Duperron
mais aussi d’Anthony Stelmaszack et de Geoffroy Boizard, sur les
basses de Baptistes Castet et de Sylvain Marc, sur l’orgue de Hervé
St Guirons et enfin sur la batterie de Baptiste Castets. Des textes
finement ciselés et des parties d’harmonica distillées avec le
plus grand soin, CadiJo nous gâte du début à la fin de sa nouvelle
œuvre en nous proposant des créations pleines de grâce, de
sensibilité, de grain et plus largement d’esprit, des chansons
bleues qui nous invitent à rencontrer « Jean du voyage », à avoir
« Le diable dans les yeux » ou encore à apprécier à leur juste
valeur « Le verbe, les femmes et la vie », autant d’ingrédients
éminemment blues par nature que l’artiste assemble avec tellement
de soin et d’ingéniosité qu’il faut être bien difficile pour
ne pas se laisse convaincre par le résultat. Si les bayous que
CadiJo nous présente sont plus proches du Sud de la France que de
celui des Etats Unis, cela n’enlève absolument rien à la
sincérité de son blues et ça, même ses homologues américains
l’ont clairement reconnu puisque du Professeur David Evans de
l’Université de Memphis jusqu’à Floyd Lieberman, manager de
B.B. King, chacun salue à sa très juste valeur le travail d’un
musicien qui n’a peut-être pas vécu dans les champs de coton mais
assurément qui a tout compris du blues. On aime vraiment beaucoup
! |
BLUES AGAIN Juin 2014 CD En vadrouille dans les marécages |
Un CD qui fleure bon le naturel, qui
commence par des gazouillis d’oiseaux et les bruits de pas d’un
promeneur qui nous amènent à un premier titre acoustique ‘En
Vadrouille Dans Les Marécages’ où l’harmonica de
Cadijo papillonne soutenu par la guitare de Baptiste Duperron. A
noter une belle intervention de la six cordes de Geoffroy Boizard qui
nous montre que l’esprit de Django Reinhardt n’est pas loin. Tous
les autres titres sont chantés en français sauf un ‘Treated
Wrong’. On se promène entre blues et swing manouche avec
nonchalance et poésie de terrain qui sent bon le vécu, la
simplicité, l’amitié et la franchise, loin de la poésie de salon
et sa sophistication rébarbative. ‘Entendre’ te
conseille de rester éveillé à ce qui se passe autour de toi. ‘Jean
Du Voyage’ joli jeu de mot pour parler de ses frères en
musique. ‘Imbécile Heureux’ est une chanson, à
juste titre, de révolté. ‘Rester Tranquille’ est une
ode à la liberté. Et tout au long des plages, toujours cet
harmonica hypnotisant, comme dans ‘Hey Toi’ où c’est
juste son instrument qui accompagne la voix de Cadijo qui interpelle
l’homme riche, l’homme de pouvoir, l’homme de loi et l’homme…
de rien. On trouve aussi une espèce d’hommage au style Brassens
avec ‘Le Verbe, Les Femmes, La Vie’. A noter que l’aide
du bottleneck d’Anthony Stelmaszack a été requise sur un titre
genre bon temps rouler, ‘Elle Aimait Traîner’.
Cette vadrouille dans les marécages est vraiment un rayon de soleil
printanier. |
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SOUL BAG n° 195 Mai 2009 CD LES BRAS CROISES |
Le nouveau disque de CadiJo (Jean Pierre Carraro) est une synthese entre son blues des origines et sa période jazz et swing. On déguste son blues gouleyant, bien balancé, revigorant, entrecoupé de balades jazzy, de gospels joyeux, avec un plaisir sans cesse renouvelé. La trouvaille de cette fournée est l'ajout du trombone de Norman Hogue, un instrument sous employé, pourtant bien utile avec son son chaud et son apport rythmique. CadiJo est un des rares artistes français à allier ainsi le swing, le blues, l'entrain, la gouaille, tout en restant aussi accessible. Christophe Mourot – Soul Bag n°195 mai 2009 |
BLUES MAG & PARIS MOVE Avril 2009 CD LES BRAS CROISES |
Le nouvel opus de CadiJo, ‘Les bras croisés’, est un bon bol d’air frais dans l’univers musical actuel où la grisaille et les grimaces font trop souvent l’actualité. Ventes de CD en baisse, piratage sur le net, places de concert trop chères, il y a de quoi mécontenter tout le monde, artistes comme public, et comme pour donner un grand coup de balai à tout ça, y’a cet album, et une chanson, ‘Un caillou dans ma chaussure’. Une chanson qui justifie à elle seule de posséder ce petit bijou qu’est ‘Les bras croisés’: une superbe chanson, certes, mais surtout une vision ironique et amusée sur les relations humaines, et la vie. Premier titre de l’album, ‘Le grenier du salin’ est un morceau cent pour cent musical sur lequel CadiJo vous démontre qu’il est un maître du ‘ruine babine’ et que l’harmo festif n’a plus de secrets pour lui. Autre morceau musical délicieux et enjoué au possible, ‘Rev Moses’ (signé L. Donaldson) sur lequel les musiciens de Cadijo jouent avec un plaisir communicatif évident. Un plaisir qui transpire au travers de chacun des dix titres alignés et qui nous fait indiscutablement regretter que le bon CadiJo ne nous ait pas collé deux ou trois titres de plus tant cet album apporte du plaisir. Un plaisir que l’on aimerait tellement voir se prolonger encore, et encore,… Ceci dit, il existe la touche ‘replay’, heureusement. Deux traditionnels, ‘Jordan River’ et ‘You better mind’ trouvent parfaitement leur place dans cet album qui respire la fraîcheur et la vivacité d’un blues enjoué qui n’a pas à se poser de questions. C’est spontané et festif, joyeux et lumineux, alors que voulez-vous de plus pour démarrer la journée en beauté ? Peut être cette petite ritournelle, alors, histoire de vous donner vraiment envie de prendre le temps de vivre, le sourire aux lèvres: ‘Les bras croisés, les pieds dans l’eau, et je rêve…’ Une ritournelle qui ne vous lâchera plus et que vous fredonnerez toute la journée. Elle n’est pas belle la vie ? Frankie « Bluesy » Pfeiffer
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BLUES MAG & PARIS MOVE Janvier 2009 CD GRANDIR |
Etonnant opus que ce ‘Grandir’
signé Cadijo (Jean Pierre Carraro, dixit sa carte d’identité)
: étonnant de spontanéité, étonnant de
sensibilité et de fraîcheur, étonnant de qualité.
Sur les 12 chansons proposées ici, Jean Pierre en signe 6
(paroles et musique) tandis que Michel Carraro en signe 5 et que
l’album se termine sur une très belle reprise de John
Jackson, avec ‘Boat’s Up River’. Côté musiciens,
Cadijo est entouré de l’excellent Raoul Ficel à la
guitare et du non moins talentueux Michel Foizon à la six
cordes également, Jean Pierre se réservant le chant,
l’harmonica, et le sifflet, façon Yves Montand, comme sur
‘Les Rêves Bleus’.
Frankie Bluesy Pfeiffer |
BLUES & CO octobre 2008 CD GRANDIR |
Grandir, c'est un truc que CadiJo n'a pas oublié de faire et de bien le faire, au fil du temps il a su se forger un style, un son CadiJo, il ne fait que du CadiJo, pas de pâle imitation, non, rien que du CadiJo. Sur son nouvel album, il nous offre toute une série de variations autour du blues, un blues flirtant avec la chanson française, le zydéco ou encore le folk, sans oublier bien sûr le swing où il excelle. Son blues n'a pas de limite et folâtre d'un style à l'autre, rien que pour notre bonheur et notre plaisir, explorant les misères et les joies de son monde, le notre, sur des textes somptueux, bourrés de fraicheur et de poésie, un régal des sens. Accompagné de Michel Foizon ou de Raoul Ficel, les complices de toujours, guitaristes au talent incontestable, CadiJo nous régale de ses trilles d'harmonica, jamais d'esbrouffe, du nickel chrome question précision et concision. Mais vain Dieu que ça t'ébourriffe tellement c'est vrai! Et puis que ceux qui disent que le français n'est pas fait pour le blues écoutent cette rondelle et en rediscutent avec nous!!! Un superbe album qui devrait ravir les amateurs de blues mais pas que .... du bel ouvrage. Tonton Erick |
SOULBAG septembre 2008 | CD GRANDIR |
CadiJo continue d'exploiter la veine acoustique avec son complice Michel Foizon à la guitare, qui laissera sa place ici sur cinq titres à Raoul Ficel. Acoustique donc, mais moins jazz et tsigane et plus blues, avec une tendance confirmée à la belle chanson française. Qui va se plaindre? Voici donc onze compositions et une reprise (John Jackson), habilement troussée, entre Georges Brassens et blues ancien. L'influence du grand Georges est revendiquée par CadiJo et il a bien raison de dire que ses textes sont aussi blues que ceux des maîtres du genre. Dans tous les cas, on en trouve ici une belle prolongation, bondissante mélancolie, touchante poésie, écoutez Il vaut mieux s'embrasser, qui vient caresser doucement votre coeur et votre âme. L'auditeur exigeant retiendra les très beaux blues Y'a qu'l'argent, Y'a des matins comme ça, où les trois compères nous font le coup du retour de JB Lenoir. Si la mesure de la qualité est le nombre de fois où l'on se prend à siffler les mélodies entendues, alors CadiJo est le grand vainqueur du trimestre. Christophe Mourot
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ZICAZIC Mai 2008 | CD GRANDIR |
Disciple de Neil Young par lequel il découvrit l’harmonica et de Sonny Terry qui lui permit de rencontrer le blues, Cadijo a fait ses débuts comme sideman de Chris Shaw mais est très vite passé à une carrière sous son propre nom, se faisant rapidement accompagner par son frère Michel mais aussi par un autre Michel, Foizon de Blues And Trouble, l’aidera à enregistrer un premier album de blues acoustique. Exilé un temps au Canada, le chanteur et harmoniciste trouvera très rapidement sa place sur la scène de Toronto mais c’est vers la France et Bordeaux qu’il reviendra pour accompagner Lenny Lafargue ou encore Keith B Brown et pour continuer à avancer en solo, que ce soit en électrique ou en acoustique, Cadijo se montrant aussi efficace dans l’un et l’autre des deux exercices. Accompagné du fidèle Michel Foizon mais aussi de Raoul Ficel aux guitares, Cadijo s’offre aujourd’hui un nouvel album de chansons blues. Un genre à part dans lequel il excelle … Il y a en lui quelque chose de Le Forestier et de Brassens mais également de Patrick Verbeke et de Benoît Blue Boy, un petit je ne sais quoi qui fait que ses chansons de frenchy pop peinturlurées en bleu et copieusement saupoudrées d’harmonicas viennent vous attraper au plus profond de l’inconscient pour ne plus ensuite vous quitter de la journée ! De souffles en sifflets, le bonhomme n’en finit plus de donner de la couleur à des morceaux pleins d’émotions, des chansons où il est question de passions et d’amours mais aussi d’argent et même de naufrages. « Grandir » se retourne bien évidemment sur l’évolution naturelle de l’individu, partant du bon pied vers des rivages bien bluesy, puis c’est dans la chanson française un peu plus pop et beaucoup plus folk que l’on glisse jusqu’à un « A tous les Titanics » avant de reprendre de plus belle vers le blues pour un hymne en puissance, « Y’a qu’l’argent », et avec un superbe instrumental bourré de références diverses, « Souvenirs sans paroles ». Plus festif et presque zydeco sur « J’suis pas pressé », Cadijo met « Du swing dans son blues » et termine son voyage par une reprise de John Jackson, « Boat’s Up River », offrant par la même occasion à « Grandir » sa seule incursion vers la langue de Robert Johnson. Avec un album qui sait à l’occasion sortir sans la moindre hésitation des carcans du blues pur et dur, Cadijo démontre par l’objet qu’il y a moyen de toucher un public élargi et de lui donner matière à aimer cette musique qui lui colle si bien à la peau. Et ne vous méprenez en découvrant la pochette, c’est aussi et surtout aux adultes que « Grandir » s’adresse ! Fred Delforge
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L'OREILLE BLEUE - mai 2005 cd Vagabond Blues |
Il n’y a pas un jour où mon
âme ne s’émeut d’une mélopée subtile,
d’une rythmique qui soigne plus qu’une ordonnance. Vagabond Blues
est tel ce joyau d’auto médicamentation, ce formidable
pis-allé contre toute thérapie moderne aux maux de
notre siècle. A l’écoute de Cadijo, mon cœur fait
boum… enfin… boum, boum ! Madman |
VIRUS DE BLUES - mars 2005 cd Vagabond Blues |
Le sédentaire gadjo CadiJo s'en va ici promener ses influences harmonicales dans la roulotte manouche et vagabonde de style en style avec réussite, prêt à tailler en communauté sa part de niglo à l'aillé ou sous la cendre. La bande qui l'entraîne (Fred PJ et Greg Schultz aux guitares et Lionnel Garrigues à la contrebasse) pompe et chorus dans les règles de l'art avec un swing exemplaire, le laissant librement s'exprimer sur ses habituelles roots blues-ragtime. Dans ce programme de haute tenue mêlant habilement compos et reprises métissées, français et anglais et splendides instrumentaux, Cadijo rarement aussi à l'aise conjugue bonheur et fraîcheur. Jean Pierre Savouyaud |
SOUL BAG – déc 2004 | cd Vagabond Blues |
Ouf ! CadiJo revient ! Son nouveau disque est dans une veine électro-acoustique avec deux guitares et une contrebasse en accompagnement. L’écueil du disque de blues acoustique est intelligemment évité grâce à un éclectisme musical qui mêle blues ancien et moderne, jazz, ragtime, variété, le tout lié par un swing de tous les instants, bien entretenu par les guitares sèches. CadiJo peut ainsi exprimer sa classe à l’harmonica, adepte des sons chauds, de l’amplification mesurée, des progressions musicales sans coutures et des enchaînements harmonieux entre solos et parties vocales. Deux plaisirs particuliers : « Que reste-t-il de nos amours…» en instrumental et la reprise du hit du premier disque, « Elle aimait trainer ». Un disque qui apaise. Christophe Mourot .
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CROSSROAD - sept 2004 | cd Vagabond Blues |
AH QUELLE FRAICHEUR ! Le blues de Cadijo vagabonde sur ce dernier opus, avec une belle décontraction et un tel talent sur des airs de swing gitan que le plaisir se fait vite bonheur, dès les premières mesures. L'harmoniciste brillant organise ses disques comme de nouvelles aventures, des terrains parsemés d'hommages et d'excellence musicale. Ce " souffleur " basé à Bordeaux a été converti à l'harmonica en écoutant Neil Young (Harvest) et au blues par Sonny Terry. Depuis il ne cesse d'accumuler rencontres et réussites, dans des formules variées, aussi bien électriques qu'acoustiques. Avec un enregistrement d'une extrème qualité, un son étudié dans les moindres recoins et le respect de l'authenticité, le Vagabond Blues de Cadijo erre entre un swing manouche parfois nostalgique, tantot vif, toujours fluide, et quelques touches de blues et de ragtime, dans un jeu d'échanges sublimes avec la belle guitare déliée, mais sobre, de Fred PG, parfaitement soutenue par la contrebasse de Lionel Garrigues et la rythmique de Christophe Coletta. On pense évidemment à Django Reinhardt (reprise de " Daphné "), mais pas seulement, et que ce soit sur des compositions ou bien dans les reprises, la personnalité de ce meneur de jeu, curieux et percutant, est très attachante. Heureux comme un gosse qui joue, Cadijo jongle avec son petit instrument et le torture jusqu'à le mouler en un violon à la Grapelli. Il explose en inventivité et sensualité avec tout le respect qu'il doit aux grands harmonicistes qui l'ont influencé. Le chant de Cadijo n'en reste pas au second plan, bien inspiré et en phase avec tous les styles, toujours juste. Un grand moment de blues et de swing ! |
JAZZ CLASSIQUE - Sept 2004 | cd Vagabond Blues |
Plaisir de la découverte, petit bonheur du chroniqueur : ce CD enregistré par un quartette composé de Cadijo (harmonica et chant), Fred PG et Christophe Coletta (guitare) et Lionel Garrigues (contrebasse) offre une instrumentation, un son, un cocktail stylistique peu banals, celui d’un harmonica très expressif accompagné par un trio « manouche ». Parbleu pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt ? L’alliage est parfaitement justifiable et réussi. Ca fonctionne aussi bien qu’avec un accordéon, non seulement pour Charles Trenet (Que reste-t-il de nos amours ?), mais aussi pour des standards du jazz. Le répertoire, la qualité des solistes, le dynamisme de l’ensemble - qui n’est pas sans faire penser à Sweet Mama (Wabash Rag) - font de ce CD une bonne surprise. Je ne raffolais pas de l’harmonica – en dehors du blues ! - mais Cadijo m’a converti : sa maitrise du style de Chicago (Blues Harp Strut, intro de Louise ) fait merveille par son expressivité et son lyrisme dans I can’t give you anything but love , curieuse impression d’ailleurs que d’écouter Out of Nowhere, I can’t give you… et autres classiques qui sonnent de façon inatendue, « inentendue » ! Une belle surprise également - les guitaristes étant des musiciens qui m’étaient parfaitement inconnus - , la qualité des soli de guitare toujours lyriques et swinguants. Jean Marc Berliere, Jazz Classique n°32, Septembre 2004 |
BLUES and CO - Aout 2004 | cd Vagabond Blues |
Encore une fois, Cadijo, harmoniciste accompli au faite de son art, bluesman inspiré et convaincant, compositeur et chanteur de talent, nous offre une rondelle originale, variée et pleine de fraicheur. Parfois seul avec son harmonica sur des morceaux de bravoure comme " Blues Harp Strut " ou encore " Louise ", grand moment de pure émotion. Ne manquez surtout pas la sortie de cet opus qui est d'une cuvée exceptionnelle. Erick Diard - BLUES and CO n°28 - Aout 2004 |
La GAZETTE de GREENWOOD n°32 - année 2001 | cd Blues au Comptoir |
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…Quelle réussite! CadiJo confirme son talent en nous offrant une galette époustouflante de maturité.Blues léger, swingant et dansant, subtil mélange de jazz… …Au chant, il possède toujours ces intonations caractéristiques qui font toute son originalité et "musicalisent" différemment ses textes en français. Quant à l'harmonica, il nous dévoile un talent toujours plus grand ! Oui, CadiJo est à placer parmi les meilleurs de la scène française, avec un style propre qui fait mouche... Olivier de la Taillade, La GAZETTE de GREENWOOD
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Le NET BLUES /Québec - Mai 2002 | cd Blues au Comptoir |
…Une musique de fete qui fait taper du pied et hocher d'la tete. Sans demi mesure et livré à fond de train, CadiJo, harmoniciste chanteur prouve que le blues est sans frontière.
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DELTA BLUES Radio Albiges - 2002 | cd Blues au Comptoir |
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…j'ai
passé 50 minutes de pur bonheur, le mélange réalisé (l'alchimie ??) sur
cet album m'a réellement procuré une sensation de bien être.
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BLUES & CO - 2001 | cd Blues au Comptoir |
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L'harmonica de CadiJo est au zénith sur des morceaux instrumentaux. Sa voix chaude de rital en costard de maffioso fait swinguer les mots , qu'ils soient en français ou en anglais . On capte bien ses multiples influences venues de Walter Horton, Sonny Terry, et surtout de George Smith, ainsi que l'expérience acquise en se musclant les babines aux cotés du pianiste Johnny " big moose "Walker. Serge Sciboz.
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L'OREILLE BLEUE - 2002 | cd Blues au Comptoir |
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Ma première impression, à l'écoute de cette tartine, oscille entre bonne humeur et légèreté.
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GUITAR PART n° 99 - Juin 2002 | cd Blues au Comptoir |
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Harmoniciste
éloquent au jeu marqué par l'usage intensif du vibrato, ce garçon
témoigne encore une fois de la haute tenue de notre scène blues.
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Les AMIS du BLUES / Québec- Janv 2002 | cd Blues au Comptoir |
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…" CadiJo
" m'a accroché à la première écoute par son naturel, son
professionnalisme, le timbre de sa voix sans accent, la subtilité de
l'harmonica et la qualité du band!
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BLUES FEELING - été 2001 | cd Blues au Comptoir |
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Groupe swingant, jazzy, bluesy, qui connait son affaire. Les hommages à Big Walter Horton sont bienvenus avec un chouette son à l'harmonica. Idem pour le "Music's Hot" de Slim Harpo . Un groupe à voir, réellement impliqué dans le blues. Little Red Rider.
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JAZZ HOT - nov 2002 | cd Blues au Comptoir |
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Cadijo
doit être tombé dans le blues quand il était petit et il rend un
hommage émouvant aux grands harmonicistes qui l'ont inspiré, en
particulier Walter Horton et Rice Miller...
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SOUL BAG n°165 - hiver 2001 | cd Le 3ème Homme |
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….
On y retrouve les qualités appréciées sur les deux CDs précédents: voix
malicieuse et décidée, répertoire original et l'harmonica en "tongue
blockin' " chaleureux, avec un vibrato délectable…
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BLUES & CO n°18 - printemps 2002 | cd Le 3ème Homme |
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...il en résulte un savoureux cocktail entre compositions originales en français, dans lesquelles la voix de Cadijo excelle, et des reprises des plus intéressantes…
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SOUL BAG n°256 - oct 1999 | cd Rester Tranquille |
...loin des Etats-Unis et de Paris, quatre Bordelais jouent une musique bien française et pourtant plus blues que beaucoup de productions d'outre atlantique. Christophe Mourot
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BLUES MAGAZINE n°15 - hiver 1999 | cd Rester Tranquille |
…CadiJo possède un répertoire large, très large, qui autorise les surprises, comme des ambiances un peu funky, pré-war blues et même country ! Mais l’ensemble possède une réelle personnalité que l’harmonica de Jean Pierre Carraro (CadiJo) contribue à rendre réellement à part ! Thomas Puyregner
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BLUES & CO n°10 - déc 1999 | cd Rester Tranquille |
CadiJo, au chant et à l'harmonica, prouve une fois de plus que l'on peut être blanc, français, provincial de surcroît, et jouer du blues au sens propre et noble du terme. Il nous propose un mélange audacieux et réussi de Chicago et de Mississippi Blues, avec un nuage de Nouvelle Orléans, le tout sur des textes en français complètement accrocheurs...A écouter en priorité le très dansant "Elle aimait trainer", le très swingant "Monsieur Blues", et le réaliste "Des Matins Comme ça"... Serge Sciboz
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GAZETTE de GREENWOOD - oct 2000 | cd Rester Tranquille |
CadiJo fait partie de ces joueurs de Blues qui osent la langue d'Astérix et qui y réussit parfaitement: textes intelligents qui évitent les clichés... Olivier de la Taillade
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